• Les tensions provoquées par la pandémie de COVID-19 céderont la place à des changements à plus long terme dans les économies provinciales.
• Les naissances ne seront plus aussi nombreuses que les décès au Canada, laissant l’immigration comme seule source nette de croissance démographique. Les provinces de l’Atlantique et le Québec seront les plus touchés.
• L’industrie du pétrole et du gaz continuera d’être un moteur économique, mais son influence diminuera à mesure que d’autres sources d’énergie se développeront.
• Le profil d’âge de la main-d’œuvre et la façon dont l’économie s’approvisionne en énergie généreront de nouvelles avenues pour les investissements en capital des entreprises. Mais le Canada devra affronter un marché international concurrentiel lorsqu’il s’agira de vendre ses innovations.
• Le gouvernement fédéral a accumulé la majeure partie de la dette publique liée à la pandémie. Cependant, les gouvernements provinciaux continueront de faire face à des défis budgétaires liés à la hausse des coûts des soins de santé et de l’éducation.
• On peut s’attendre à ce que l’Île-du-Prince-Édouard, la Colombie-Britannique et l’Alberta enregistrent la plus forte croissance au cours des prochaines années et que l’Ontario les rejoigne à plus long terme avec l’augmentation de l’immigration.
• La Nouvelle-Écosse, le Nouveau-Brunswick et Terre-Neuve-et-Labrador afficheront la plus faible croissance durant toute la période de prévision, en raison de leurs populations plus âgées.

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Source: , 11 février 2022