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Quelles seront les tendances 2024 dans les RH ?

À l’aube de cette nouvelle année, faisons le tour d’horizon de quelques études et rapports qui tentent d’apporter une vision prospective sur les évolutions de la fonction ressources humaines.

  • Le défi de la rétention

La fidélisation des salariés n’est certes pas une tendance nouvelle pour les services ressources humaines… mais cet enjeu semble d’autant plus prégnant pour l’année qui s’ouvre. Selon l’Enquête canadienne sur la situation des entreprises (quatrième trimestre de 2022), les entreprises de différentes tailles anticipent une augmentation des postes vacants, avec des pourcentages les plus élevés parmi celles comptant de 20 à 99 employés (17,6%), suivies par celles ayant 100 employés ou plus (15,9%), et de 5 à 19 employés (11,2%).

D’après les résultats d’une enquête Capterra 47 % des Québécois songent à quitter leur emploi. Le problème majeur ? Selon 44 % des répondants de la province, le stress est ce qui leur cause le plus d’inconfort. Parmi les autres facteurs les poussant à quitter leur emploi, trois des six principaux sont financiers : le salaire (42 %), les avantages sociaux (29,2 %) et les bonus supplémentaires (21,4 %).

Le manque d’équilibre travail-vie personnelle (26,7%), le manque de reconnaissance (30,9 %), et les relations tendues avec la direction (18,9%) ont également un impact significatif sur cette décision. De quoi donner des pistes de reflexion sur les mesures à adopter pour les professionnels des RH.

  • Penser à la qualité de vie plutôt que simplement au salaire

Qu’est-ce qui importe une personne dans sa prise de décision pour un nouveau travail ? Une rémunération suffisante, naturellement, pour 79% des répondants selon une enquête menée par Randstad Canada. Mais, juste derrière, 76 % les travailleurs disent accorder désormais de l’importance aux avantages non matériels, notamment la flexibilité des horaires et du lieu de travail, la formation et la reconnaissance, ainsi que les valeurs promues par l’organisation.

Selon cette même étude, 40 % des répondants seraient susceptibles de quitter leur emploi afin d’améliorer leur conciliation travail-vie personnelle. Preuve supplémentaire que l’attractivité d’une entreprise est devenue nettement plus multi-facettes qu’avant la pandémie.

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Source : Isarta, 3 janvier 2024 Par 

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