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Comprendre la sous-représentation sur le marché du travail canadien : une analyse des définitions et des approches

Comment les économistes définissent-ils la notion de « sous-représentation » sur le marché du travail? Le CIMT examine six approches.

TABLE DES MATIÈRES

Annexe

INTRODUCTION

Les conséquences de la crise de COVID-19 sur le marché du travail n’ont pas été les mêmes pour tous. Des recherches ont démontré que les femmes, les nouveaux arrivants au Canada et les minorités visibles ont subi des pertes d’emploi plus importantes et connu une reprise plus lente (par rapport aux hommes nés au Canada) en raison des restrictions imposées par la pandémie.

La mise en évidence de ces vulnérabilités et inégalités a permis de redonner vie à l’appel à l’action. Les décideurs politiques doivent relever les défis liés à l’emploi et au marché du travail auxquels font face certains groupes démographiques au Canada.

Toutefois, avant que des mesures significatives puissent être entreprises, il faut identifier les groupes ou populations qui ont besoin de soutien.

Les termes distincts mais conceptuellement similaires utilisés pour décrire différents segments de la population manquent malheureusement de clarté. En effet, on mélange souvent les termes « sous-représenté », « vulnérable » et « en quête d’équité ».

Pour mettre ce problème en évidence, nous avons exploré six approches pour définir les groupes « sous-représentés » sur le marché du travail canadien, puis analysé l’impact de chaque approche sur la classification des groupes. Dans la présente étude, nous faisons la distinction entre « sous-représenté » et « en quête d’équité » (Encadré 1).

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Source: Conseil de l’information sur le marche du travail (CIMT), Anne-Lore Fraikin, juillet 2023

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